Comment Nadia a augmenté ses ventes de +9 % en exploitant les bons moments de consommation
- Claire Brunaud

- 28 oct.
- 3 min de lecture
Nadia gère un bar à tapas dans une grande ville étudiante.
Ambiance conviviale, carte courte mais efficace, terrasse toujours pleine dès les beaux jours.
Et pourtant, en regardant ses chiffres de fin de mois, elle constate un paradoxe : beaucoup de volume, mais une rentabilité qui ne progresse plus.
Elle décide alors de connecter son système de caisse à Fyre, pour comprendre ce qui se cache derrière ces résultats en apparence stables.
Quelques clics plus tard, elle découvre que le problème n’était pas ce qu’elle vendait… mais quand elle le vendait.
Étape 1 — Identifier les vrais pics d’activité
Grâce à l’analyse horaire du dashboard Fyre, Nadia visualise en un instant les moments forts et faibles de la semaine.
Les données sont claires :
le samedi entre 19h et 21h représente 35 % du chiffre d’affaires hebdomadaire,
les lundis et mardis sont plats,
et les vendredis en début de soirée (17h–19h) ont un vrai potentiel… mais restent sous-exploités.
“Je savais que le samedi marchait bien, mais je n’imaginais pas à quel point il portait tout le reste. Et je ne voyais pas que j’avais des opportunités sur d’autres créneaux.”
Étape 2 — Adapter le staffing et l’offre aux moments clés
À partir de ces insights, Nadia décide de revoir son organisation :
renfort d’équipe sur les pics du week-end,
ouverture anticipée le vendredi avec une offre “before dinner” à prix doux,
simplification de la carte sur les soirées à plus faible fréquentation pour réduire les coûts.
Elle suit ensuite en temps réel les ventes via Fyre pour mesurer l’impact de ces ajustements.
Étape 3 — Créer de nouveaux temps forts
Plutôt que de subir les variations de flux, Nadia les transforme en levier commercial.
Avec les données Fyre, elle identifie les produits les plus performants par tranche horaire :
tapas salées et cocktails sans alcool en début de soirée,
planches à partager et vins dès 20h,
desserts et cafés gourmands après 22h.
Elle met donc en place des mini-offres ciblées :
“Apéro express” de 17h à 19h,
“Combo tapas + vin” sur le créneau du dîner,
et une “formule tardive” pour prolonger la soirée.
Étape 4 — Mesurer les résultats
Après un mois, les effets sont nets :
+9 % de chiffre d’affaires global,
hausse de +6 points sur la marge horaire moyenne,
et une meilleure répartition des ventes tout au long de la semaine.
Mais surtout, Nadia a gagné en sérénité : elle sait désormais quand concentrer ses efforts — et quand relâcher la pression.
“Avant, je pilotais à l’intuition. Maintenant, je sais précisément à quel moment chaque heure rapporte le plus. C’est comme si j’avais mis de la lumière sur mes chiffres.”
Un pilotage intelligent du temps et des équipes
Grâce à Fyre, Nadia ne se contente plus de suivre son chiffre d’affaires global.
Elle pilote désormais la rentabilité horaire : un indicateur clé pour les établissements à forte amplitude d’ouverture.
En ajustant ses équipes, son offre et ses promotions aux bons moments, elle a pu :
améliorer la productivité sans ajouter d’heures,
fluidifier le service aux pics d’affluence,
et dynamiser les moments creux avec des offres ciblées.
🧡 La leçon
Dans la restauration, chaque heure compte.
Mais sans données précises, impossible de savoir quand concentrer ses efforts.
Fyre transforme les chiffres de caisse en indicateurs de performance temporelle :
quand les clients consomment, combien ils dépensent, et quels produits génèrent le plus de marge à chaque moment de la journée.
“Travailler mieux plutôt que plus” : c’est exactement ce que la data permet, quand elle est claire et actionnable.
Fyre aide les restaurateurs à piloter leurs ventes, leurs équipes et leurs offres heure par heure.
Parce qu’aujourd’hui, la vraie rentabilité ne se joue pas seulement sur ce qu’on vend, mais aussi sur quand on le vend.








Commentaires